Il ne fait pas encore assez noir
Alors tu mets le pied sur la lumière
Et ça saute comme une mine antipersonnel
Des confettis de toi-même
Jusque sur l’autre rive
Tes rêves forment des chapelets
De pensées aux formes anguleuses
Que tu fais rouler dans ta paume
Tu passes tes rêves au tamis
Et l’horloge retient son souffle
Tes rêves qui se cachent dans les origamis
Tes maigres rêves qui traînent de la patte
Ton désir rangé dans un bocal
Ton coquillage qui ne chuchote plus les marées
Tes mains qui ne riment plus avec lui
Tes rêves qui croquent des boules à mites
Tes tendres rêves aux coupoles cuivrées
Ta bouche fermée à double tour
Tes tendresses mal léchées
Tes cuisses en route pour Jupiter
Regarde come ils sont jolis, tes rêves
Tes papillons rares, soigneusement épinglés
Regarde comme elle est belle, ta silhouette
Couverte de confettis
Il ne fait pas encore assez noir
Alors tu mets le pied sur la lumière
Et ça saute comme une mine antipersonnel
Des confettis de toi-même
Jusque sur l’autre rive
Tes rêves forment des chapelets
De pensées aux formes anguleuses
Que tu fais rouler dans ta paume
Tu passes tes rêves au tamis
Et l’horloge retient son souffle
Tes rêves qui se cachent dans les origamis
Tes maigres rêves qui traînent de la patte
Ton désir rangé dans un bocal
Ton coquillage qui ne chuchote plus les marées
Tes mains qui ne riment plus avec lui
Tes rêves qui croquent des boules à mites
Tes tendres rêves aux coupoles cuivrées
Ta bouche fermée à double tour
Tes tendresses mal léchées
Tes cuisses en route pour Jupiter
Regarde come ils sont jolis, tes rêves
Tes papillons rares, soigneusement épinglés
Regarde comme elle est belle, ta silhouette
Couverte de confettis